L’Euro 2020 a été décalé d’une année à cause de la pandémie mondiale. Aujourd’hui, le coronavirus est toujours présent et la compétition devrait être maintenue. D’habitude organisée au sein de plusieurs villes à travers l’Europe, cette année, cela semble compromis. Une nouvelle organisation doit donc être pensée et certains pays proposent leur aide.
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L’Angleterre propose d’accueillir tous les matchs de l’Euro
Selon le journal Sunday Times, le gouvernement britannique a proposé de recevoir tous les matchs de l’Euro 2021, une compétition sportive très attendue qui doit se dérouler du 11 juin au 11 juillet 2021. Pourquoi l’Angleterre serait le pays idéal pour accueillir cette compétition ? Le secrétaire d’État à la culture, aux médias et aux sports du pays, Olivier Dowden, aurait émis l’idée à l’UEFA que les stades britanniques seraient aptes à accueillir du public plus tôt que les autres pays d’Europe. La campagne de vaccination anti-Covid avance vite en Angleterre, mais de nouveaux obstacles apparaissent pour cette organisation, notamment les variants du virus.
L’UEFA est sceptique face à cette proposition. Cela pourrait faciliter beaucoup de choses, et permettre de maintenir l’Euro 2021. Les passionnés anglais auraient la possibilité d’assister aux matchs, et peut-être d’autres Européens pouvant prouver qu’ils ne sont pas atteints du virus. Malheureusement, un grand nombre de personnes devra suivre la compétition de leur canapé. Le plaisir sera tout de même là, et les plus aventuriers vont pouvoir faire des paris sportifs. Toutefois, le cœur du projet de l’UEFA est, et reste, de réaliser un Euro dans plusieurs pays européens.
L’Israël se dit capable d’accueillir l’Euro et des matchs de C1 et C3
La fondation israélienne a laissé entendre que le patron de l’UEFA, Aleksander Ceferin, réfléchissait sérieusement à organiser les matchs de la Ligue des champions en Israël, s’il n’y avait pas d’évolution positive en Europe à propos du coronavirus. Il s’agirait seulement d’un recours sanitaire. L’UEFA garde en tête l’envie d’organiser tous ses événements au sein des villes européennes déjà choisies.
En Europe, de nombreuses restrictions de déplacement sont appliquées et les variants du coronavirus inquiètent. La possibilité d’organiser l’Euro dans douze villes de douze pays devient de plus en plus improbable. L’Israël s’est proposé en tant que pays accueillant, mais d’autres pays semblent être disposés aussi à le faire, comme la Russie et l’Allemagne. L’instance européenne se laisse le temps d’y réfléchir jusqu’à début avril. L’objectif est de définir ville par ville les différentes mesures sanitaires pouvant être appliquées et la jauge de retenue avec quatre options :
- un stade plein ;
- 50 à 100 % de spectateurs ;
- 20 à 30 % de spectateurs ;
- un huis clos.
